jeudi 17 février 2011

Goa - j4 (Palolem/Hampi)

Aujourd'hui journée plage. Nuit agitée (à cause du vent et des animaux), donc réveil tardif et difficile. Le temps de se renseigner et de se décider pour les bus pour Hampi, il était déjà 13 heures passées. Du coup on a fait le check-out et on a mangé des burgers sur la plage. Un peu de lecture, une baignade, et re-lecture au soleil, j'entretient le peu de bronzage acquis. Aude propose de louer des kayaks; nous n'en avons jamais fait mais c'est une bonne idée, et puis il faut un début à tout. Ma première fois en kayak de mer, je m'en souviendrais: la mer chaude d'Oman, des îlots parsemés de palmiers, Aude l'experte qui nous donne de bons conseils et des petits poissons argentés qui jaillissent hors de l'eau juste à côté de moi, c'était super chouette. On se sèche, un Coca et c'est partis pour 3km à pieds en direction de Chaudi pour attraper le bus qui nous emmènera à Hampi.

Petite explication du pourquoi du comment le voyage entre Palolem et Chaudi se fait à pieds. Le matin, dans une des agence de voyage on nous apprend que le bus Goa/Hampi par de Chaudi, que c'est à 3km et que cela nous coûterai environ 100Rs pour rejoindre le point de départ en rickshaw. En bonne Délhite je remarque que cela m'aurait coûté moins de 30Rs dans la capitale (où les prix sont 10 fois plus élevés); étonnée je demande donc pourquoi c'est si cher, et je rajoute que c'est sûrement négociable, ce à quoi l'agent de voyage me répond dans un anglais approximatif avec son accent de merde et un ton dédaigneux: "mais Madame si vous ne voulez pas vous faire arnaquer, il ne fallait pas venir à Goa". Bon ben ça c'est dit! Je suis partie furieuse, on a pris nos billets de bus dans l'agence voisine et donc on a décidé de marcher ^^.

On mange dans un hôtel à côté de l'arrêt de bus, commandons 3 bières, faut bien faire passer le temps... achetons des gâteaux, nous voilà prêts pour les 10h de trajet. Le bus arrivera avec plus d'1h de retard et au lieu d'arriver à Hampi à 6h nous y seront à 8h30; mais ça c'est une autre histoire...

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